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Seul dans le noir
Je marchais au hasard
Tout est sans espoir
Je ferais tout pour te voir
Entre nous il y a Hitler
Entre nous il y a la guerre
Et ce rideau de fer
Loin, je suis en enfer
Au loin les uniformes
Ils arrêtent un homme
Je passe la borne
Un fusil détonne
C'était l'histoire de Tom
Il a choisit l'amour à l'Homme
C'était son heure de gloire
Il avait choisit l'espoir
Dans le monde il y a trop d'Histoire
Il n'y a pas assez d'espoir
Ni d'heures de gloire
On souille notre mémoire
l'Humain sans vouloir
use son désespoir
A la perte du Savoir
Un grand trou noir
Pour plus tard
l'Ange à la fenêtre
Regardais naître
l'Enfant ce petit être
Demain le maître
C'est l'hymne à Bush
A ces prédecesseurs louches
Un pleure qui s'étouffe
Un monde qui tousse
Explosion du pamplemousse
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descriptif:
tu es née du fin fond d'un grenier, alimentée de harcellements, d'agressions et d'abandons, seule avec mon étoile je luttais nuit et jour contre tes fantômes inexplicables, petit à petit tu as préféree habiter mon corps que mon esprit, pour me détourner de la réalité.
tu m'as envahie, mais tu t'es enfouie, je t'ai oublié.
on s'est retrouvée un jour sans cris égard, tu m'as attaquée par surprise, sans défense, j'ai sombré, mais je suis partie du fond pour mieux remonter à la surface.
ensuite j'ai décidé de faire face, avec le peu j'y suis arrivée à long terme, j'ai renforcée peu à peu mes fragilités, il suffisait de te connaitre, d'aller à la source et t'apprivoiser. grâce au temps, à l'inconscient ... affronter la réalité c'est faire 70 % du travail !!mais pour cela je dois remercier mes proches, mes amis, et les tiers personnes qui m'ont supportées, guidées, jamais je n'oublierais.
j'ai appris qu'il fallait d'abord s'aimer pour aimer les autres et pouvoir leur rendre et donner.il faut apprendre à s'oublier.parfois encore tu essaye de me hanter, mais j'ai compris qui tu étais, plus forte des fois tu réussie mais de courte durée, ta fréquence diminue, mon esprit évolue, je fais force de la fragilité.
je me suis débarrassée de ma névrose, de ma dépression, j'aime le sommeil, et j'arrive mieux à aimer alors j'écris ceci en ce moment car je suis fragilisée, je veux me remémorer tout mes efforts, et ne pas perdre espoir, je veux croire en moi, et apprendre à encore mieux me maitriser, ne plus anticiper, mais pour cela il faut aussi que je prévienne au lieu de guérir !
un jour je ne serais plus lunatique, égoiste, je me raisonnerais même dans le fond, je patienterais et je positiverais même quand je ne contrôle pas tout. je veux changer de point de vue, et m'ouvrir encore plus. je n'aurais besoin que de moi même.
pour l'instant je veux juste mes partielles, et voir mon chéri ! lol
et voilà, c'est l'histoire d'apprendre à aimer la vie, la voir comme une amie et non une ennemie !
pour ceux qui perdent espoir ... mon histoire n'est pas si noir, il y a pire mais dedans on ne le voit pas.
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Quatre mots sur un piano, ceux qu'elle a laissés
Quatre c'est autant de trop, je sais compter
Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés
Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais
Cas très banal, cliché, dénouement funeste
Trois moins deux qui s'en vont, ça fait moi qui reste
Caresses, égards et baisers, je n'ai pas su faire
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer
Moi j'aurais tout fait pour elle, pour un simple mot
Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Etait-elle trop belle ou suis-je trop sot ?
N'aime-t-on jamais assez ?
Quatre années belles à pleurer, maigre résumé
Cartes jouées mais la reine s'est cachée
Quatre millions de silences, de regrets qui dansent
Les questions, les soupirs et les sentences
Je préférais ses absences
Moi j'aurais tant fait pour elle, pour boire à son eau
Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Mais était-elle trop belle, ou bien nous trop sots ?
N'aime-t-on jamais assez
Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour
Vous deux, nouez, filiez mon parfait amour
Un matin vous m'avez condamnée à choisir
Je ne vous aimais qu'à deux
Je vous laisse, adieu
Choisir serait nous trahir
Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais ?
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer
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