• L'enfer de l'espoir (2004)

    Seul dans le noir
    Je marchais au hasard
    Tout est sans espoir
    Je ferais tout pour te voir

    Entre nous il y a Hitler
    Entre nous il y a la guerre
    Et ce rideau de fer
    Loin, je suis en enfer

    Au loin les uniformes
    Ils arrêtent un homme
    Je passe la borne
    Un fusil détonne

    C'était l'histoire de Tom
    Il a choisit l'amour à l'Homme
    C'était son heure de gloire
    Il avait choisit l'espoir

    Dans le monde il y a trop d'Histoire
    Il n'y a pas assez d'espoir
    Ni d'heures de gloire
    On souille notre mémoire

    l'Humain sans vouloir
    use son désespoir
    A la perte du Savoir
    Un grand trou noir
    Pour plus tard

    l'Ange à la fenêtre
    Regardais naître
    l'Enfant ce petit être
    Demain le maître

    C'est l'hymne à Bush
    A ces prédecesseurs louches
    Un pleure qui s'étouffe
    Un monde qui tousse

    Explosion du pamplemousse

     



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  • ouah chui tombée dessus par hasard, jme demande bien pk zon fe sa mdr !

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  • descriptif:

    tu es née du fin fond d'un grenier, alimentée de harcellements, d'agressions et d'abandons, seule avec mon étoile je luttais nuit et jour contre tes fantômes inexplicables, petit à petit tu as préféree habiter mon corps que mon esprit, pour me détourner de la réalité.

    tu m'as envahie, mais tu t'es enfouie, je t'ai oublié.

    on s'est retrouvée un jour sans cris égard, tu m'as attaquée par surprise, sans défense, j'ai sombré, mais je suis partie du fond pour mieux remonter à la surface.
    ensuite j'ai décidé de faire face,  avec le peu j'y suis arrivée à long terme, j'ai renforcée peu à peu mes fragilités, il suffisait de te connaitre, d'aller à la source et t'apprivoiser. grâce au temps, à l'inconscient ... affronter la réalité c'est faire 70 % du travail !!

    mais pour cela je dois remercier mes proches, mes amis, et les tiers personnes qui m'ont supportées, guidées, jamais je n'oublierais.
    j'ai appris qu'il fallait d'abord s'aimer pour aimer les autres et pouvoir leur rendre et donner.il faut apprendre à s'oublier.

    parfois encore tu essaye de me hanter, mais j'ai compris qui tu étais, plus forte des fois tu réussie mais de courte durée, ta fréquence diminue, mon esprit évolue, je fais force de la fragilité.

    je me suis débarrassée de ma névrose, de ma dépression, j'aime le sommeil, et j'arrive mieux à aimer alors j'écris ceci en ce moment car je suis fragilisée, je veux me remémorer tout mes efforts, et ne pas perdre espoir, je veux croire en moi, et apprendre à encore mieux me maitriser, ne plus anticiper, mais pour cela il faut aussi que je prévienne au lieu de guérir !

    un jour je ne serais plus lunatique, égoiste, je me raisonnerais même dans le fond, je patienterais et je positiverais même quand je ne contrôle pas tout. je veux changer de point de vue, et m'ouvrir encore plus. je n'aurais besoin que de moi même.

    pour l'instant je veux juste mes partielles, et voir mon chéri ! lol

    et voilà, c'est l'histoire d'apprendre à aimer la vie, la voir comme une amie et non une ennemie !

    pour ceux qui perdent espoir ... mon histoire n'est pas si noir, il y a pire mais dedans on ne le voit pas.

     

     

     

     



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  • Quatre mots sur un piano, ceux qu'elle a laissés

    Quatre c'est autant de trop, je sais compter
    Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés
    Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
    Ne le saurai-je jamais

    Cas très banal, cliché, dénouement funeste
    Trois moins deux qui s'en vont, ça fait moi qui reste
    Caresses, égards et baisers, je n'ai pas su faire
    La partager me soufflait Lucifer
    Depuis je rêve d'enfer

    Moi j'aurais tout fait pour elle, pour un simple mot
    Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
    Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
    Etait-elle trop belle ou suis-je trop sot ?
    N'aime-t-on jamais assez ?
    Quatre années belles à pleurer, maigre résumé
    Cartes jouées mais la reine s'est cachée
    Quatre millions de silences, de regrets qui dansent
    Les questions, les soupirs et les sentences
    Je préférais ses absences

    Moi j'aurais tant fait pour elle, pour boire à son eau
    Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
    Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
    Mais était-elle trop belle, ou bien nous trop sots ?
    N'aime-t-on jamais assez

    Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour
    Vous deux, nouez, filiez mon parfait amour
    Un matin vous m'avez condamnée à choisir
    Je ne vous aimais qu'à deux
    Je vous laisse, adieu
    Choisir serait nous trahir

    Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
    Ne le saurai-je jamais ?
    La partager me soufflait Lucifer
    Depuis je rêve d'enfer


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