• Actualité, impressions du moment, ce que j'aime


    En direct de mon cerveau, attention aux éventuels chocs moraux !!!


     

    SACHEZ QUE VOUS POUVEZ SUIVRE L'ACTU SUR GOOGLE AVEC MON LIEN !!!

    SINON JE MET REGULIEREMENT LES EVENEMENTS QUI SONT IMPORTANTS !!

     

  • OK, ce n'était donc pas des robins des bois... mais comme je l'imaginais, l'état français était loin d'être très net dans cette affaire...
    bon, à voir, mais si les écrits ci dessous sont avérés... aïe aïe aïe!!! y aura t'il des médias importants capables d'enquêter?
    bonne lecture.
    Yves

    > Texte diffusé le dimanche 25 novembre 2007 de 12 heures à 13 heures, dans
    > l'excellente émission « La Planète Bleue » sur la chaîne de radio suisse
    > romande « Couleur 3 », qui est une chaîne de radio très fiable à tous
    > niveaux.

    > Quand la fameuse affaire de l'Arche de Zoé a éclaté, curieusement, le
    > Président Sarkozy n'est pas venu au secours des enfants victimes, ni des
    > familles abusées, mais des voleurs d'enfants.
    >
    > Pourquoi ? Pour protéger qui ? Pourquoi Nicolas Sarkozy est-il allé au Tchad
    > chercher les journalistes français et les hôtesses espagnoles ? Pourquoi le
    > président français a-t-il annoncé, haut et fort, qu'il irait chercher
    > lui-même les membres de l'association « Arche de Zoé », quoi qu'ils aient
    > fait, mettant ainsi le feu à un baril qui n'avait pas besoin d'arrogance
    > pour s'enflammer.
    >
    > S'agit-il d'une maladresse due à la précipitation, ou l'affaire des
    > illuminés de l'Arche de Zoé cacherait t-elle une autre affaire autrement
    > grave, bien plus glauque, qui aurait conduit le président français à la
    > gaffe internationale ?
    >
    > Y aurait-il des imbrications entre l'exfiltration d'enfants tchadiens vers
    > l'Europe, l'industrie pharmaceutique, et les milieux d'affaire ?
    >
    > Chaque jour qui passe voit apparaître de nouvelles questions. Pourquoi et
    > comment l'association l'Arche de Zoé, a-t-elle bénéficié de passe-droits au
    > ministère des affaires étrangères, au ministère de la défense, voire au
    > ministère de l'intérieur ? Pourquoi et comment l'association l'Arche de Zoé,
    > a-t-elle pu utiliser les avions Transal de l'armée française, pour
    > transporter son matériel de N'Djaména à Abéché ? Pourquoi les services du
    > ministère français de la défense, connaissaient-ils le plan de vol du Boeing
    > affrété par Eric Breteau, le président de l'Arche de Zoé ?
    >
    > Le Boeing atterrit à Abéché, un aérodrome sous contrôle militaire tchadien
    > ... et français, certains gradés français étant présents dans la tour de
    > contrôle. C'est depuis Abéché, que, grimés en blessés, les gamins devaient
    > embarquer dans l'avion garé en bout de piste.
    >
    > Est-ce que les moyens tout à fait étonnants dont a profité l'Arche de Zoé,
    > est-ce que la précipitation maladroite du président Sarkozy, à s'impliquer
    > personnellement dans l'affaire, aurait un rapport avec le financement
    > trouble de l'association l'Arche de Zoé ? Cette affaire, qui est tout le
    > contraire d'une histoire de pieds nickelés, soulève tellement de questions,
    > que certains se demandent aujourd'hui, si derrière cette bavure humanitaire,
    > ne se cache pas une affaire d'une toute autre ampleur, une affaire
    > d'expérimentations thérapeutiques sur des patients pas du tout volontaires.
    >
    > L'association l'Arche de Zoé est une initiative d'un organisme français
    > Paris Biotech Santé. Elle est financée par une société de développement de
    > produits pharmaceutiques BioAlliance Pharma, dont le propre frère du
    > président, François Sarkozy, est vice-président du conseil de surveillance.
    > Certains observateurs se demandent si BioAlliance Pharma, qui mène des
    > recherches sur le sida et pratique des essais thérapeutiques, n'aurait pas
    > un lien avec l'affaire des infirmières bulgares, dont la libération avait
    > déjà été négociée par la famille Sarkozy. Quelles sont les réelles activités
    > de BioAlliance Pharma, dont fait partie le frère du président Sarkozy ?
    >
    > La compagnie développe des médicaments pour traiter des maladies décrites
    > comme mille fois plus virulentes en Asie du Sud-Est et dans l'Afrique
    > subsaharienne que chez nous. Pour développer ces traitements la société
    > pratique des expérimentations sur des patients, comme par exemple pour le
    > Loramic, cinq cent quarante patients répartis sur quarante sites différents
    > à travers le monde. Stéphanie Lefèvre, la secrétaire générale de l'Arche de
    > Zoé, est directrice adjointe de Paris Biotech Santé. Et François Sarkozy, le
    > frère du président, figure avec elle parmi les membres du comité
    > d'évaluation de cet organisme spécialisé dans la recherche bio-médicale.
    > D'où les questions qui enflent sur le web. Y aurait-il un rapport entre ces
    > sociétés pharmacologiques, et l'intervention du président Sarkozy au Tchad.
    > C'est comme la maladie d'Alzheimer, devenue grande cause nationale
    > française, aussitôt après l'élection de Nicolas Sarkozy. Cette déclaration
    > surprise aurait-elle un rapport avec le fait que son frère, François
    > Sarkozy, siège à AEC Partners, dont le principal client est l'américain
    > Pfeizer, leader mondial de l'industrie pharmaceutique, et spécialiste du
    > traitement de la maladie ... d'Alzheimer.
    >
    > Au printemps dernier, le Nigéria a attaqué devant la justice internationale
    > le géant Pfeizer, qui aurait je cite : « effectué en 1996, de façon
    > illégale, l'essai clinique d'un médicament, le Trovan, sur deux cents
    > enfants » fin de citation. L'inventeur du Viagra aurait secrètement utilisé
    > des enfants comme cobayes, pour tester de nouvelles molécules, sous couvert
    > d'aides humanitaires. Onze enfants sont morts lors de ces tests. D'autres
    > ont subi de graves séquelles : surdités, paralysies, lésions cérébrales,
    > cécités. Le Nigéria réclame dix milliards de dollars à Pfeizer. C'est le
    > Washington Post qui a révélé le scandale.
    >
    > Le journal belge sept sur sept s'interroge lui aussi sur le rôle de Paris
    > Biotech Santé, où travaille Stéphanie Lefèvre, la secrétaire générale de
    > l'Arche de Zoé, et François Sarkozy le frère du président. Je cite « L'Arche
    > de Zoé n'est pas une histoire d'amateurs. Ils sont très professionnellement
    > organisés, et ne manquent pas de fonds et de soutiens, en tout genre. La
    > soit disant « petite » association semble avoir préparé cette opération au
    > Tchad, avec beaucoup de relations d'influence, et de moyens techniques et
    > financiers. » Fin de citation.
    >
    > Pourquoi le président Sarkozy veut-il aller récupérer les militants de
    > l'Arche de Zoé au Tchad ? Pourquoi a-t-il voulu aller récupérer les
    > infirmières bulgares en Lybie ? Est-ce que c'est juste pour faire le beau,
    > pour parader devant les caméras du monde entier, ou est-ce que tout en haut
    > de l'état français, on redouterait que des choses finissent par se dire dans
    > les geôles africaines. On évoque notamment des expérimentations humaines
    > financées par de puissants labos de biotechnologie, sous couvert d'aide
    > humanitaire.
    >
    >
    > Fin de citation



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  • PARIS (Reuters) - Jean-Marie Le Pen a été condamné à Paris à trois mois de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende pour "complicité d'apologie de crimes de guerre et de contestation de crimes contre l'humanité", en raison de propos sur la Seconde guerre mondiale en 2005.

    Le tribunal correctionnel a presque suivi le parquet qui avait requis cinq mois de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende. Le président du Front national était absent du procès comme lors du délibéré.

     

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    Sa défense ayant plaidé la relaxe, il devrait faire appel, ont annoncé ses avocats. Le président du FN assure que les propos n'étaient pas une véritable interview mais une discussion à bâtons rompus qui n'avait pas vocation à être publiée.

    Jean-Marie Le Pen avait estimé en janvier 2005, dans une interview publiée par l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol, que l'occupation allemande de la France entre 1940 et 1944 n'avait "pas été particulièrement inhumaine, même s'il y eut des bavures, inévitables dans un pays de 550.000 kilomètres carrés".

    Il racontait un épisode supposé où la Gestapo avait joué, selon lui, un rôle positif en empêchant un officier allemand de faire fusiller des civils en représailles d'un attentat.

    "C'est la Gestapo de Lille, avertie par la SNCF, qui arriva aussitôt à deux voitures pour arrêter le massacre. On pourrait multiplier les anecdotes de ce type", disait Jean-Marie Le Pen.

    Une amende de 5.000 euros a en outre été prononcée contre le directeur de publication de Rivarol, Marie-Luce Wacquez, et une autre de 2.000 euros contre le journaliste auteur de l'entretien, Jérôme Bourbon.

    Les trois condamnés devront verser des indemnisations de un euro symbolique aux Fils et filles des déportés juifs de France, et 1.000 euros à chacune des trois autres parties civiles, la Ligue des droits de l'homme, le Mouvement contre le racisme et l'antisémitisme, Fédération nationale des déportés. La plainte de la commune de Villeneuve d'Ascq est déclarée irrecevable.


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  • SANTE

    Plan Alzheimer : les maisons de retraite inquiètes du financement

    NOUVELOBS.COM | 01.02.2008 | 18:07

    L'AD-Pa affirme que "les arbitrages financiers ne sont pas assez ambitieux" et "ne permettront pas d'améliorer suffisamment les conditions de vie des malades".

    Même s'ils affirment être plutôt satisfaits des mesures du plan Alzheimer 2008-2012, annoncées par Nicolas Sarkozy vendredi 1er février, les gestionnaires de maisons de retraite s'inquiètent cependant de leur financement et de l'absence d'annonces de création de places.
    L'AD-Pa (directeurs de maisons de retraite et services, publics et privés) et le Synerpa (maisons de retraite privées) saluent "l'engagement personnel" du chef de l'Etat dans ce domaine.
    Pascal Champvert, président de l'AD-Pa, affirme cependant dans un communiqué qu'il "attendait des actions précises" sur le "manque de personnels, l'épuisement des familles, les coûts trop élevés des établissements". "Les arbitrages financiers ne sont pas assez ambitieux", dit-il, et "ne permettront pas d'améliorer suffisamment les conditions de vie des malades et de leurs proches".
    Florence Arnaiz-Maumé, présidente du Synerpa, a déclaré à l'AFP que les 44 mesures du plan étaient "cohérentes" mais elle a fait remarquer qu'"en terme de création de places et de renforcement de personnel, l'ensemble des annonces correspondait exactement au Plan Solidarité Grand Age annoncé en 2006".

    Pareil que Philippe Bas

    Le plan "Solidarité grand âge" 2007-2012 de Philippe Bas, alors ministre délégué aux personnes âgés, prévoyait la création de 2.500 places d'accueil de jour et 1.100 places d'hébergement temporaire tous les ans durant cinq ans. C'est sensiblement ce même nombre (2.125 places d'accueil de jour et 1.125 d'hébergement temporaire) que prévoit le plan Sarkozy pour l'année 2008.
    L'accueil de jour et l'hébergement temporaire permettent aux familles de "souffler" quelques heures ou quelques jours.
    En septembre 2004 déjà, le plan Alzheimer de Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la santé, avait fixé un objectif pour fin 2007 de 15.500 places d'accueil et d'hébergement temporaire, sur lesquels 7.000 seulement étaient créées dans les délais.
    Florence Arnaiz-Maumé s'est également interrogé sur le financement. "L'apport des franchises médicales ne suffiront visiblement pas à financer les 1,6 milliard annoncés, où seront les financements manquants", interroge-t-elle.

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    Par Duncan Miriri

    NAIROBI (Reuters) - Les parties impliquées dans la crise kényane ont approuvé vendredi un cadre de discussions en quatre points pour mettre fin en quinze jours aux violences politiques, a annoncé l'ancien secrétaire général des Nations unies Kofi Annan, qui dirige les efforts de médiation à Nairobi.

     

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    Les deux camps sont en conflit depuis la réélection, le 27 décembre, du président Mwai Kibaki, contestée par le candidat de l'opposition, Raila Odinga, qui dénonce des fraudes électorales.

    Ils ne se sont mis d'accord que sur le schéma des discussions à venir mais ils ont dit avoir bon espoir de progresser rapidement.

    Annan a précisé qu'ils discuteraient de l'arrêt des violences ethniques, des moyens de fournir une aide humanitaire aux personnes affectées et du règlement dans l'immédiat de la crise politique, avant de rechercher une solution à long terme, qui devrait être trouvée dans un délai d'un an.

    Il faut en premier "agir immédiatement pour arrêter les violences", a dit Annan.

    "Mais, plus important encore, les parties sont convenues que les trois premiers points pourraient être abordés et réglés dans un délai de sept à quinze jours".

    Les discussions doivent reprendre lundi. Un responsable de l'opposition, Musalia Mudavadi, a déclaré que les deux parties étaient convenues d'exhorter leurs partisans à mettre fin aux violences qui ont entraîné les ethnies rivales dans un cycle de représailles.

    "Nous (...) nous sommes mis d'accord sur les points de l'ordre du jour (...) Nous avons réalisé de nets progrès sur le premier point (...) Nous exhortons la population à démanteler toute milice illégale", a-t-il dit.

    POURSUITE DES VIOLENCES

    La ministre kényane de la Justice, Martha Karua, s'est jointe à cet appel, ajoutant que des mesures seraient prises pour protéger les vies et les biens.

    L'annonce de l'accord a suivi de peu l'arrivée au Kenya du secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, venu soutenir les efforts de son prédécesseur.

    Ban a rencontré les équipes de négociateurs de Kibaki et d'Odinga et il a lancé un appel à l'arrêt des tueries.

    Mais au même moment, les violences se poursuivaient en plusieurs endroits de l'ouest du Kenya.

    "J'ai vu une vingtaine de maisons et de commerces incendiés et deux policiers blessés par des flèches, l'un à la jambe, l'autre à l'épaule", a rapporté, sous le sceau de l'anonymat, un journaliste kényan s'étant rendu sur place. "Au moins dix personnes ont été tuées des deux côtés", a-t-il ajouté.

    Les chefs d'Etat africains réunis en Ethiopie réclament une résolution rapide du conflit. Ban, qui assistait la veille au sommet de l'Union africaine, s'est rendu au Kenya pour une visite d'une journée.

    "Vous avez déjà trop perdu, en termes d'image nationale, d'intérêts économiques. Vous avez perdu de nombreux touristes. C'est malheureux pour un pays qui jouissait de la liberté et de la stabilité", a lancé Ban à ses interlocuteurs.

    Le président Kibaki a cependant pris le risque d'attiser les tensions en attribuant à l'opposition la responsabilité des violences.

    KIBAKI MET EN CAUSE L'OPPOSITION

    Kibaki, qui s'exprimait en marge du sommet de l'UA lors d'une réunion de l'Autorité intergouvernementale de développement (IGAD), qui regroupe six pays d'Afrique de l'Est, a accusé l'opposition d'être à l'origine des violences politico-ethniques.

    "Malheureusement, alors que les résultats de l'élection reflétaient la volonté de la majorité des Kényans, les dirigeants de l'opposition ont provoqué des émeutes qui ont causé plus de 800 morts", a-t-il affirmé.

    Kibaki a également incité Odinga à contester l'issue du scrutin devant les tribunaux. "La règle admise est qu'il convient de recourir aux systèmes prévus par la Constitution", a-t-il estimé.

    Mais le chef de l'opposition assure qu'il ne bénéficierait pas d'un traitement équitable auprès de la justice de son pays, qu'il accuse d'être favorable au président.

    Odinga accuse Kibaki d'avoir manipulé le résultat du scrutin. Selon les observateurs internationaux, le dépouillement des votes s'est déroulé d'une façon si chaotique qu'ils s'avouent impuissants à désigner un vainqueur.

    Son parti, le Mouvement démocratique orange (ODM), a néanmoins déposé des recours devant les tribunaux à propos des élections législatives, qui se tenaient le même jour que la présidentielle.

    Les Etats-Unis et plusieurs pays européens ont fait part de leur soutien à la médiation Annan et des donateurs ont annoncé l'étude de programmes d'aide pour le Kenya.

    Une nouvelle vague de violences, qui selon des témoins a fait au moins deux morts, a été déclenchée jeudi par la mort d'un député d'opposition, abattu à Eldoret par un agent de police. Ce dernier a été traduit en justice vendredi.

    Au total, deux parlementaires de l'ODM ont été tués cette semaine, et l'opposition a dénoncé des "assassinats politiques". La police a de son côté fait savoir qu'elle considérait ces événements respectivement comme un "meurtre" et un "crime passionnel".

    Avec Andrew Cawthorne, Bryson Hull et Tim Cocks à Nairobi et David Lewis à Eldoret, version française Gregory Schwartz et Nicole Dupont


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  • NAIROBI (Reuters) - De nombreux Kényans se sont rassemblés mercredi afin d'appeler à la fin des violences qui ont fait quelque 850 morts depuis l'élection présidentielle du 27 décembre, un bilan sans précédent depuis l'indépendance du Kenya en 1963.

    Les manifestations contre la réélection du président Mwai Kibaki, accusé par ses opposants de fraude électorale, ont dégénéré en affrontements à connotation ethnique entre factions rivales, vraisemblablement aggravés par des bandes armées bien organisées dans les deux camps.

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    Dans le centre de Nairobi, militants pacifistes et simples citoyens ont commencé à disposer des couronnes de fleurs. Sur les cartons qui y sont fixés, on pouvait lire les mots "Paix", "Amour", "Pardon", ou encore cet appel: "Arrêtez les tueries".

    À l'initiative de l'ancien secrétaire général des Nations unies Kofi Annan, une deuxième journée de négociations devrait avoir lieu mercredi entre Kibaki et le chef de l'opposition Raila Odinga, candidat malheureux du Mouvement démocratique orange (ODM) lors du scrutin du 27 décembre.

    Annan a lancé mardi un processus de conciliation entre les formations de Kibaki et d'Odinga, se disant optimiste quant à la résolution dans un délai d'un mois des "questions politiques immédiates".

    FRANGES RADICALES

    Deux délégations réduites doivent se rencontrer mercredi, mais les deux formations campent sur leurs positions et les franges radicales des partis ralentissent le processus.

    Kibaki entend être avant tout reconnu comme le président légitime, mais a accepté d'étudier la possibilité d'un partage du pouvoir.

    Odinga se considère de son côté lui aussi comme le chef d'Etat légitime et demande soit la démission de Kibaki, soit un nouveau vote après une période de partage du pouvoir.

    Pour de nombreux Kényans, traumatisés par les scènes de massacres et le déplacement de plus de 250.000 personnes, la responsabilité de ces événements revient à Kibaki et Odinga.

    Les deux rivaux sont accusés d'avoir attisé les tensions entre communautés à des fins électorales, puis de les avoir laissées s'aggraver en n'appelant pas au calme ou, pour l'ODM, en contestant le résultat du scrutin.

    "Chaque image de maison rasée, chaque photographie de flaque de sang séché rappelle de façon effrayante les profonds clivages qui ont fait un mirage de l'unité légendaire du Kenya", déplore dans un éditorial le Daily Nation, principal quotidien kényan.

    "La possibilité d'une guerre civile n'est pas invraisemblable et le processus de réconciliation et de reconstruction paraît une tâche colossale", poursuit le texte, estimant que Kibaki, en tant que chef de l'Etat, porterait la responsabilité d'une "désintégration du Kenya".

    Une ONG, le Conseil national des organisations communautaires, a appelé mercredi l'Union africaine et les Nations unies à venir en aide aux forces de l'ordre, "débordées". Selon ce groupe, les violences ont fait 2.000 morts et plus de 500.000 réfugiés.


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  • MIAMI (Reuters) - Hillary Clinton est arrivée largement en tête de la consultation démocrate organisée en Floride, selon les résultats annoncés par la chaîne de télévision américaine CNN.

    Avec 49% des voix, l'ancienne "First lady" devance son principal adversaire, Barack Obama, crédité de 30%, alors que 33% des suffrages avaient été dépouillés. John Edwards arrive en troisième position avec 15%.

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    Ces résultats n'auront aucune influence sur le décompte final du nombre de délégués appelés à choisir le candidat démocrate pour l'élection présidentielle de novembre, la Floride ayant été sanctionnée par les instances nationales du Parti démocrate pour avoir avancé la date d'organisation de la primaire.

    Nicolas Delame


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    PARIS (Reuters) - François Fillon annonce 250 millions d'euros et un plan pluriannuel pour la prise en charge et l'hébergement des sans-abri, des mesures jugées décevantes par les associations de lutte contre l'exclusion.

    "La priorité du gouvernement est de faire en sorte qu'il n'y ait personne qui soit contraint de dormir dans la rue", a réaffirmé le Premier ministre à l'issue d'une réunion à Matignon avec les associations.

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    Le chef du gouvernement les avait déjà reçues le 19 décembre, à la suite de la tentative des Enfants de Don Quichotte de réinstaller un camp de tentes à Paris, mais le "contrat commun" qu'il avait promis pour le 15 janvier n'a pas vu le jour, les associations refusant d'y souscrire.

    Le député UMP des Yvelines Etienne Pinte, chargé d'arrêter des propositions en collaboration avec les associations, qui ont soumis "treize axes d'engagement" au gouvernement, a finalement remis mardi son rapport.

    Au nombre des "mesures immédiates", François Fillon a retenu une hausse des crédits de 25% par rapport à 2007 pour l'hébergement des sans-abri et la réhabilitation de l'habitat insalubre - une enveloppe supplémentaire de 250 millions, bien en-deçà des attentes des associations qui évaluaient de 1,5 à 1,7 milliard d'euros les besoins pour 2008.

    Un poste de "super-préfet" sera créé, sous l'autorité du Premier ministre, afin de coordonner sur le terrain les actions en faveur des sans-abri, qui sont estimés à 200.000 en France.

    Sur le long terme, le gouvernement engagera un plan pluriannuel, qui répond partiellement aux attentes des associations et nécessitera des aménagements législatifs.

    "Les politiques publiques ne doivent plus alimenter la précarité", a souligné François Fillon, insistant sur la nécessité de ne laisser personne à l'écart de circuits d'insertion saturés.

    Nombreuses sont les personnes sortant d'institutions publiques (foyers de la Dass, prisons, hôpitaux psychiatriques...) qui échouent aujourd'hui dans la rue.

    AU MOINS 30% DE LOGEMENTS SOCIAUX

    Le plan renforcera en outre le dispositif de prévention des expulsions locatives. La commission de prévention des expulsions devra être systématiquement saisie, avec l'obligation d'une enquête sociale. Des instructions seront données aux préfets "pour que personne ne puisse être expulsé sans qu'une solution d'hébergement digne soit proposée", a précisé François Fillon.

    Un programme de réhabilitation des centres d'hébergement et d'augmentation des capacités sera mis en oeuvre.

    Le gouvernement entend "se donner les moyens" d'appliquer la loi du 5 mars 2007 instituant le droit au logement et à l'hébergement opposables. Quelque 600.000 personnes sont éligibles au Dalo, entré en application le 1er janvier.

    "L'Etat mettra tout en oeuvre pour réaliser les objectifs de rattrapage du plan de cohésion sociale (du 8 janvier 2007, NDLR), et du PARSA (Plan d'action renforcé en faveur des sans-abri) aux fins de construire 20.000 logements par an et 9.000 places de maisons relais d'ici à 2012", a dit le Premier ministre.

    Pour toute ville "en constat de carence" au regard de la loi SRU, l'ensemble des programmes de construction de l'année "devront comprendre une part d'au moins 30% de logements sociaux". Le préfet disposera d'un droit de préemption sur le parc immobilier existant.

    La loi solidarité et renouvellement urbain, votée en décembre 2000, impose aux communes de plus de 3.500 habitants (1.500 en Ile-de-France) qui n'atteignent pas le seuil de 20% de logements sociaux d'engager un plan de rattrapage pour atteindre cet objectif d'ici à 2020, sous peine de sanctions financières.

    "Nous allons continuer à négocier. Pour le moment, ça reste des mots", a déploré Nicole Maestracci, présidente de la Fnars, la Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale.

    Etienne Pinte est chargé de "poursuivre le dialogue" jusqu'en juin.

    "Nous avions demandé un saut qualitatif et quantitatif, (...) on n'a pas été entendus", a déclaré pour sa part Patrick Doutreligne, délégué général de la Fondation Abbé Pierre.

    Augustin Legrand, porte-parole des Don Quichotte, a exprimé "une colère froide", appelant à "une mobilisation très forte" des mal-logés pour "contraindre le gouvernement à avancer".

    "Il y a un type qui a perdu 5 milliards d'euros à la Société Générale, et c'est pas très grave, et nous on ressort avec 250 millions d'euros alors qu'on demandait 2 milliards", a-t-il dit.


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  • PARIS (Reuters) - Jérôme Kerviel, le trader à qui la Société générale impute la responsabilité d'une perte de 4,9 milliards d'euros, a été placé en garde à vue à la Brigade financière à Paris, a-t-on appris de source judiciaire.

    Il devrait être interrogé durant 48 heures, jusqu'à lundi, après quoi deux options sont ouvertes : sa remise en liberté si aucune charge n'est retenue contre lui, ou, plus vraisemblablement, sa mise en examen et éventuellement en détention ou sous contrôle judiciaire.

     

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    Après avoir été convoqué, l'homme de 31 ans s'est présenté de lui-même à la police, qui avait mené vendredi une perquisition en son absence à son domicile de Neuilly (Hauts-de-Seine). Les enquêteurs se sont par ailleurs fait remettre des documents sur la "fraude" présumée au siège de la Société générale, à La Défense.

    Le parquet de Paris opère sur le fondement de deux plaintes : l'une déposée contre "X" par un petit porteur pour "escroquerie, abus de confiance, faux et usage de faux", et l'autre déposée contre lui par la direction de la banque pour "faux et usages de faux en écritures bancaires" et intrusion ou "piratage" informatique.

    Ces délits, qui se seront pas obligatoirement tous retenus, peuvent valoir de deux ans de prison pour le piratage informatique à cinq ans pour l'escroquerie, ainsi que des sanctions financières.

    De nombreux spécialistes ont exprimé leurs doutes sur la possibilité pour un homme de creuser un tel trou financier en agissant seul.

    Une semaine après la découverte de ce qui est présenté comme une fraude, le président de la Société générale, Daniel Bouton, s'est dit confiant. "Nous avons subi un choc mais nous allons le surmonter ensemble", déclare-t-il dans Le Figaro de samedi.

    Il répond aux personnes qui le soupçonnent d'avoir jeté l'opprobre sur une bouc émissaire pour cacher des pertes dans des opérations financières.

    "J'étais dans le même état de choc quand j'ai moi-même découvert l'ampleur du sujet. Mais réfléchissons ! Nous aurions transféré dans un trou nouveau des pertes provenant d'un autre trou ? Cela ne tient pas debout, ni techniquement ni comptablement", dit-il.

    De même, Daniel Bouton juge "absurde" que l'on reproche à la Société générale d'avoir provoqué la chute des marchés lundi en liquidant les importantes positions acheteuses accumulées par son trader. Il compare l'affaire à un "incendie volontaire, qui aurait détruit une grosse usine d'un groupe industriel".

    A la fin de sa visite en Inde, Nicolas Sarkozy a appelé à abolir un système financier qui selon lui "marche sur la tête" et peut subir "des pertes gigantesques en quelques heures".

    ROYAL DÉNONCE UN "INVRAISEMBLABLE SCANDALE"

    Le chef de l'Etat a été informé mardi par ses collaborateurs et s'en est entretenu avec le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer, disait-on samedi à l'Elysée.

    Le Premier ministre, François Fillon, avait indiqué la veille que l'affaire, découverte durant le week-end par la banque, n'avait été portée à la connaissance des autorités françaises que mercredi.

    La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, a confirmé samedi qu'elle remettrait dans les jours qui viennent au Premier ministre un rapport qui sera "sans doute rendu public".

    La commission des Finances de l'Assemblée a annoncé pour sa part son intention d'auditionner prochainement les acteurs de la crise, dont peut-être Daniel Bouton et le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer.

    "Le devoir du Parlement, parce qu'on sait qu'il y a eu défaut dans le système de contrôle, c'est de connaître parfaitement le déroulement de cette affaire pour pouvoir modifier la loi et prendre un certain nombre de mesures qui viennent améliorer ce contrôle", a expliqué sur RTL Frédéric Lefebvre, député UMP membre de la commission des Finances.

    Le Parti socialiste a réclamé un débat à l'Assemblée nationale la semaine prochaine.

    Devant les militants de son association Désirs d'avenir réunis à Paris, la socialiste Ségolène Royal a dénoncé samedi un "invraisemblable scandale".

    "Si pour une banque comme la Société générale, sept milliards d'euros, c'est rien du tout, alors comment se fait-il qu'elle matraque les familles qui ont un découvert bancaire ?", s'est interrogée l'ex candidate à l'élection présidentielle.

    Elle a invité à comparer "ces patrons qui sont grassement payés pour surveiller et pour faire correctement leur travail" et les "milliers de gens qui sont dans l'endettement à cause des comportements bancaires".

    Elizabeth Pineau, Thierry Lévêque

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  • Trop la tehon pour Nadal mais bon !!!! Sava lotr c un manceau de mon collège d'avant alors je ferme ma gueule !!! mais bon voilà mdr

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