• le libre arbitre

    drôle d'oiseau que d'être un humain
    on doit voler vers et choisir son chemin
    problèmes de dissonnances cognitives ?
    tant pis il faut poursuivre
    quelques fois on rencontre des carrefours
    on hésite, on faits des détours
    on anticipe des ennuis
    on tombe de haut certaines nuits

    je devrais être entrain de me dire
    c'est comme ça, ça va me faire grandir
    mais j'ai du mal à encaisser les coups
    surtout quand ils vous creusent en dessous
    mais j'ai envie de croire à l'espoir
    de pouvoir être aimer et avancer
    tout en étant rassuré, en apprenant
    à ne pas rester figé, aller de l'avant
    ce que j'essaie déjà en ce moment
    mais même dans les pires moments

    je sais je dois avancer petit à petit
    mais il ne faut pas que je m'auto-détruit
    j'ai un chéri qui m'attend et même s'il à fait une connerie
    j'ai choisis de suivre donc je dois me mettre une carosserie
    penser à ma pomme et sourire à l'inconnu
    tout en ayant dans mon coeur l'homme que j'ai élu
    il faut que je fasse de l'amour un atout
    et non une série de pleures de poupées vaudoux
    je dois arrêter de me fatiguer
    mettre mes idées sur des dunes éventées

    ah ! écrire pour se persuader, et espérer
    faire en sorte que mes voeux deviennent réalités...

    i believe in me
    in you
    in own couple
    we can sucess with patience as you said

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  • un petit oiseau, un petit poisson, s'aimaient d'amour tendre, mais comment s'y prendre ?

    j'aimerais rencontrer l'alchimiste pour qu'il me guide dans ma Légende Personnelle, et que j'arrive à écouter mon coeur, et l'âme du monde.

    j'aimerais qu'il en fasse partie, mais il ne lis pas mes poèmes, mais je l'aime.

    j'aimerais lui convenir, pourquoi finir ?

    viens à moi vieux roi et montre moi le voie, par les rêves, l'esprit, ou les djinns, fait moi un signe.

    je m'envolerais au pays que l'on dit paradis.

     




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  • Un jour j'ai rêvé d'une déclaration d'amour au pied levé

    Mais finalement cette déclaration sur papier

    N'est-elle est rien comparer aux gestes quotidiens

    Aux milles attentions portées qui resserre le lien ?

    Je n'en sais rien

    Mais ce rêve semble un conte de fée

    Qui viendra m'en tirer ?

    Je voudrais envoyer valser les preuves d'amour en or plaquée

    Mais l'ego ne veut pas se réveiller

    l'espoir fait vivre

    Et j'en suis ivre

    Chut...



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  • OK, ce n'était donc pas des robins des bois... mais comme je l'imaginais, l'état français était loin d'être très net dans cette affaire...
    bon, à voir, mais si les écrits ci dessous sont avérés... aïe aïe aïe!!! y aura t'il des médias importants capables d'enquêter?
    bonne lecture.
    Yves

    > Texte diffusé le dimanche 25 novembre 2007 de 12 heures à 13 heures, dans
    > l'excellente émission « La Planète Bleue » sur la chaîne de radio suisse
    > romande « Couleur 3 », qui est une chaîne de radio très fiable à tous
    > niveaux.

    > Quand la fameuse affaire de l'Arche de Zoé a éclaté, curieusement, le
    > Président Sarkozy n'est pas venu au secours des enfants victimes, ni des
    > familles abusées, mais des voleurs d'enfants.
    >
    > Pourquoi ? Pour protéger qui ? Pourquoi Nicolas Sarkozy est-il allé au Tchad
    > chercher les journalistes français et les hôtesses espagnoles ? Pourquoi le
    > président français a-t-il annoncé, haut et fort, qu'il irait chercher
    > lui-même les membres de l'association « Arche de Zoé », quoi qu'ils aient
    > fait, mettant ainsi le feu à un baril qui n'avait pas besoin d'arrogance
    > pour s'enflammer.
    >
    > S'agit-il d'une maladresse due à la précipitation, ou l'affaire des
    > illuminés de l'Arche de Zoé cacherait t-elle une autre affaire autrement
    > grave, bien plus glauque, qui aurait conduit le président français à la
    > gaffe internationale ?
    >
    > Y aurait-il des imbrications entre l'exfiltration d'enfants tchadiens vers
    > l'Europe, l'industrie pharmaceutique, et les milieux d'affaire ?
    >
    > Chaque jour qui passe voit apparaître de nouvelles questions. Pourquoi et
    > comment l'association l'Arche de Zoé, a-t-elle bénéficié de passe-droits au
    > ministère des affaires étrangères, au ministère de la défense, voire au
    > ministère de l'intérieur ? Pourquoi et comment l'association l'Arche de Zoé,
    > a-t-elle pu utiliser les avions Transal de l'armée française, pour
    > transporter son matériel de N'Djaména à Abéché ? Pourquoi les services du
    > ministère français de la défense, connaissaient-ils le plan de vol du Boeing
    > affrété par Eric Breteau, le président de l'Arche de Zoé ?
    >
    > Le Boeing atterrit à Abéché, un aérodrome sous contrôle militaire tchadien
    > ... et français, certains gradés français étant présents dans la tour de
    > contrôle. C'est depuis Abéché, que, grimés en blessés, les gamins devaient
    > embarquer dans l'avion garé en bout de piste.
    >
    > Est-ce que les moyens tout à fait étonnants dont a profité l'Arche de Zoé,
    > est-ce que la précipitation maladroite du président Sarkozy, à s'impliquer
    > personnellement dans l'affaire, aurait un rapport avec le financement
    > trouble de l'association l'Arche de Zoé ? Cette affaire, qui est tout le
    > contraire d'une histoire de pieds nickelés, soulève tellement de questions,
    > que certains se demandent aujourd'hui, si derrière cette bavure humanitaire,
    > ne se cache pas une affaire d'une toute autre ampleur, une affaire
    > d'expérimentations thérapeutiques sur des patients pas du tout volontaires.
    >
    > L'association l'Arche de Zoé est une initiative d'un organisme français
    > Paris Biotech Santé. Elle est financée par une société de développement de
    > produits pharmaceutiques BioAlliance Pharma, dont le propre frère du
    > président, François Sarkozy, est vice-président du conseil de surveillance.
    > Certains observateurs se demandent si BioAlliance Pharma, qui mène des
    > recherches sur le sida et pratique des essais thérapeutiques, n'aurait pas
    > un lien avec l'affaire des infirmières bulgares, dont la libération avait
    > déjà été négociée par la famille Sarkozy. Quelles sont les réelles activités
    > de BioAlliance Pharma, dont fait partie le frère du président Sarkozy ?
    >
    > La compagnie développe des médicaments pour traiter des maladies décrites
    > comme mille fois plus virulentes en Asie du Sud-Est et dans l'Afrique
    > subsaharienne que chez nous. Pour développer ces traitements la société
    > pratique des expérimentations sur des patients, comme par exemple pour le
    > Loramic, cinq cent quarante patients répartis sur quarante sites différents
    > à travers le monde. Stéphanie Lefèvre, la secrétaire générale de l'Arche de
    > Zoé, est directrice adjointe de Paris Biotech Santé. Et François Sarkozy, le
    > frère du président, figure avec elle parmi les membres du comité
    > d'évaluation de cet organisme spécialisé dans la recherche bio-médicale.
    > D'où les questions qui enflent sur le web. Y aurait-il un rapport entre ces
    > sociétés pharmacologiques, et l'intervention du président Sarkozy au Tchad.
    > C'est comme la maladie d'Alzheimer, devenue grande cause nationale
    > française, aussitôt après l'élection de Nicolas Sarkozy. Cette déclaration
    > surprise aurait-elle un rapport avec le fait que son frère, François
    > Sarkozy, siège à AEC Partners, dont le principal client est l'américain
    > Pfeizer, leader mondial de l'industrie pharmaceutique, et spécialiste du
    > traitement de la maladie ... d'Alzheimer.
    >
    > Au printemps dernier, le Nigéria a attaqué devant la justice internationale
    > le géant Pfeizer, qui aurait je cite : « effectué en 1996, de façon
    > illégale, l'essai clinique d'un médicament, le Trovan, sur deux cents
    > enfants » fin de citation. L'inventeur du Viagra aurait secrètement utilisé
    > des enfants comme cobayes, pour tester de nouvelles molécules, sous couvert
    > d'aides humanitaires. Onze enfants sont morts lors de ces tests. D'autres
    > ont subi de graves séquelles : surdités, paralysies, lésions cérébrales,
    > cécités. Le Nigéria réclame dix milliards de dollars à Pfeizer. C'est le
    > Washington Post qui a révélé le scandale.
    >
    > Le journal belge sept sur sept s'interroge lui aussi sur le rôle de Paris
    > Biotech Santé, où travaille Stéphanie Lefèvre, la secrétaire générale de
    > l'Arche de Zoé, et François Sarkozy le frère du président. Je cite « L'Arche
    > de Zoé n'est pas une histoire d'amateurs. Ils sont très professionnellement
    > organisés, et ne manquent pas de fonds et de soutiens, en tout genre. La
    > soit disant « petite » association semble avoir préparé cette opération au
    > Tchad, avec beaucoup de relations d'influence, et de moyens techniques et
    > financiers. » Fin de citation.
    >
    > Pourquoi le président Sarkozy veut-il aller récupérer les militants de
    > l'Arche de Zoé au Tchad ? Pourquoi a-t-il voulu aller récupérer les
    > infirmières bulgares en Lybie ? Est-ce que c'est juste pour faire le beau,
    > pour parader devant les caméras du monde entier, ou est-ce que tout en haut
    > de l'état français, on redouterait que des choses finissent par se dire dans
    > les geôles africaines. On évoque notamment des expérimentations humaines
    > financées par de puissants labos de biotechnologie, sous couvert d'aide
    > humanitaire.
    >
    >
    > Fin de citation



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  • PARIS (Reuters) - Jean-Marie Le Pen a été condamné à Paris à trois mois de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende pour "complicité d'apologie de crimes de guerre et de contestation de crimes contre l'humanité", en raison de propos sur la Seconde guerre mondiale en 2005.

    Le tribunal correctionnel a presque suivi le parquet qui avait requis cinq mois de prison avec sursis et 10.000 euros d'amende. Le président du Front national était absent du procès comme lors du délibéré.

     

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    Sa défense ayant plaidé la relaxe, il devrait faire appel, ont annoncé ses avocats. Le président du FN assure que les propos n'étaient pas une véritable interview mais une discussion à bâtons rompus qui n'avait pas vocation à être publiée.

    Jean-Marie Le Pen avait estimé en janvier 2005, dans une interview publiée par l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol, que l'occupation allemande de la France entre 1940 et 1944 n'avait "pas été particulièrement inhumaine, même s'il y eut des bavures, inévitables dans un pays de 550.000 kilomètres carrés".

    Il racontait un épisode supposé où la Gestapo avait joué, selon lui, un rôle positif en empêchant un officier allemand de faire fusiller des civils en représailles d'un attentat.

    "C'est la Gestapo de Lille, avertie par la SNCF, qui arriva aussitôt à deux voitures pour arrêter le massacre. On pourrait multiplier les anecdotes de ce type", disait Jean-Marie Le Pen.

    Une amende de 5.000 euros a en outre été prononcée contre le directeur de publication de Rivarol, Marie-Luce Wacquez, et une autre de 2.000 euros contre le journaliste auteur de l'entretien, Jérôme Bourbon.

    Les trois condamnés devront verser des indemnisations de un euro symbolique aux Fils et filles des déportés juifs de France, et 1.000 euros à chacune des trois autres parties civiles, la Ligue des droits de l'homme, le Mouvement contre le racisme et l'antisémitisme, Fédération nationale des déportés. La plainte de la commune de Villeneuve d'Ascq est déclarée irrecevable.


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